05/05/2012

En réponse à Philippe Tesson


Philippe Tesson, journaliste politique tient une tribune intitulée La campagne de France au journal Le Point :
Voici ma réponse intégrale, elle a été tronquée sur le site :
"Pour ce qui est de votre analyse des réflexions des électeurs de droite, vous êtes mieux placé que moi pour en parler. Et tant pis pour ceux que vous décrivez avec de si fielleux arguments (Décidemment le camp sarkozyste n'est plus à un dédain près !)
Par contre je ne peux pas vous laisser dire de telles incongruités sur François Bayrou. J'en suis un sympathisant convaincu. Mais à votre différence évidente, j'ai lu sa déclaration. Elle est claire, limpide, intelligente.
On peut ne pas adhérer aux idées de François Hollande, mais on a le droit et le DEVOIR de chasser Sarkozy qui n'a orienté sa politique qu'en fonction de ce que son très précieux et douteux entourage lui imposait. Il a trop sérieusement dégradé l'image du Président de la République Française, trop dédaigné voire insulté le peuple de France, s'est trop compromis avec des gens peu recommandables y compris le FN.
Non monsieur Tesson, je vous croyais plus intelligent à défaut d'être réaliste."

Demain est un autre jour...

Ainsi s'exprimait Scarlett O'Hara dans Autant en emporte le vent.
Je souhaite que le vent balaiera au tréfonds de nos souvenirs les cinq années que nous venons de vivre et que des mots comme bling-bling, vrai travail, Copé, Rosso-Debord, Pécresse, NKM et consors disparaîtront définitivement du vocabulaire quotidien. Et surtout que l'histoire se souvienne de ce qu'à pu être dégradant, pour la France et les français, la présidence de cet espèce d'agité tourmenté qu'a pu être Sarkozy. Pourvu que pour une fois une décision qu'il ait pu prendre soit enfin respectée : sortir de la vie politique en cas de défaite !
Demain, d'autres ennuis, d'autres combats nous attendent. De belles promesses nous ont été faites. Parfois sans tenir compte suffisamment de la réalité économique. Il nous faudra être vigilants et savoir aussi réagir  avec autant d'impartialité que nous l'avons fait jusqu'à maintenant.
Tous les espoirs sont permis. Pas l'utopie !